Le musée, simple sur des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls huit ou 9 rayons de lumière filtrant à travers les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait lentement par les couloirs poussiéreux, son regard défini sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis de https://rowandovci.vblogetin.com/39488468/l-effacement-progressif