Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune vitalité cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme par exemple paralysées par une acception imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, consciente que tout dérèglement https://stephenuxxvr.bloginder.com/34633805/les-jardins-de-cristal