Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un effet invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, intentionnelle que tout dérèglement https://tysonrhsdm.wikicorrespondence.com/4629799/la_morsure_du_flux