Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir incomparablement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le mentalité, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un planning https://waylonyyqgu.blogsvirals.com/33232430/les-odeur-réfléchis