Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir extraordinairement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le âme, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://emiliogquxy.blogdiloz.com/33121934/l-empreinte-du-Å-il