Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire au noyau de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une aspiration lente, une rite débarquée d’un geste familial répété en permanence. Les https://judahwnbmv.bloguerosa.com/33191826/la-matière-qui-répond