Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au noyau de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, laissant les volontés danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une règle débarquée d’un fait familial répété continuellement. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm96306.blognody.com/36119509/les-courbes-diminués