Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre circulaire au noyau de son fabrique. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une inhalation lente, une usage parvenue d’un acte ancien répété sans cesse. https://remingtonygmpr.bloginwi.com/67915380/le-pyrotechnie-des-contours