Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre arrondie en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une règle née d’un geste ancien répété sans fin. https://voyance-gratuite-en-ligne33207.blogsuperapp.com/34790826/les-contours-effacés